Le CCC (Courent Classiste et Combatif - organisation politique) occupait depuis 2001 un hangar dans un bidon-ville de Buenos Aires.
Selon eux, 450 repas y étaient répartis quotidiennement.
Le 13 novembre dernier, à 3 heures du matin, un groupe de 25 personnes a fait irruption dans ce local, en disant qu'ils avaient besoin de logement, et qu'ils s'appropriaient l'endroit. Ceux de la CCC les ont accusés de narco-trafiquants et de marchands de sommeil. Ce groupe de 25 personnes est resté dans le hangar jusqu'à neuf heure, ce soir-là, après de longues négociations avec la police.
Celle-ci était arrivée dans la journée pour empêcher ceux de la CCC de s'affronter aux autres et pour les réprimer.
L'histoire n'est pas très claire puisqu'on ne sait pas vraiment qui était ce groupe de 25 personnes qui ressemblait d'avantage à des personnes dans le besoin qu'à des trafiquants.
En revanche, les faits démontrent au moins que le problème du logement pour les plus démunis dans la capitale Argentine est loin d'être résolu.
Selon eux, 450 repas y étaient répartis quotidiennement.
Le 13 novembre dernier, à 3 heures du matin, un groupe de 25 personnes a fait irruption dans ce local, en disant qu'ils avaient besoin de logement, et qu'ils s'appropriaient l'endroit. Ceux de la CCC les ont accusés de narco-trafiquants et de marchands de sommeil. Ce groupe de 25 personnes est resté dans le hangar jusqu'à neuf heure, ce soir-là, après de longues négociations avec la police.
Celle-ci était arrivée dans la journée pour empêcher ceux de la CCC de s'affronter aux autres et pour les réprimer.
L'histoire n'est pas très claire puisqu'on ne sait pas vraiment qui était ce groupe de 25 personnes qui ressemblait d'avantage à des personnes dans le besoin qu'à des trafiquants.
En revanche, les faits démontrent au moins que le problème du logement pour les plus démunis dans la capitale Argentine est loin d'être résolu.
3 commentaires:
Ils ont quand même fière allure, les policiers argentins. Nous en Catalogne, on en a des beaux aussi, mais pas autant, je le reconnais bien volontiers.
Je savais que tu étais un collabo Jordi !
Jordi est à la catalogne ce que Patrick I. est à l'ironie.
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