Santiago (1) Plaza Ñuñoa


2 commentaires:

Raymond Depardon a dit…

Étonnant de voir les pauvres sourire avec tant d'application. À croire qu'ils ne se rendent compte de rien. C'est affligeant. S'ils sont pauvres, c'est qu'ils le veulent bien. Avec le montant hallucinant des allocations, pas étonnant que les pauvres préfèrent rester assis sur leur cul à sourire, au lieu d'aller travailler. Le monde marche sur la tête.

martin barzilai a dit…

Raymond, on ne vous a pas demandé votre avis, en fait.