Entre 1995 et 1999 et depuis 2009, tout les samedis, sur l'avenue Istiklal, une centaine de familles se réunissent pour demander des comptes à l'Etat Turc. On estime à 1500 le nombre de personnes disparues dans les années 90, victimes du Jitem (service de renseignements et antiterrorisme de la gendarmerie).
1 commentaire:
Alors toi, pour péter l'ambiance, t'es trop fort.
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